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- Le concept de rotation d’un portefeuille financier
- Les riches achètent un portefeuille financier pour le garder
- Pourquoi le taux de rotation du portefeuille financier des non-riches augmente-t-il si rapidement?
- Pourquoi les riches se comportent-ils de cette façon?
- Le chemin de la réussite
- Prenons un ETF SP500 comme exemple
- Les avantages de ce traitement de son portefeuille financier sont difficiles à surestimer
- L’un des principaux avantages des placements dans un fonds indiciel bien structuré est le faible taux de rotation du portefeuille financier
- Pourquoi les riches détestent-ils autant la rotation du portefeuille financier?
- Pour vous, en tant qu’investisseur individuel, la leçon est claire
- Comment investir dans les
ETF en bourse - Vos commentaires
Le concept de rotation d’un portefeuille financier
Dans la gestion de leur portefeuille financier, l’un des comportements absolus, inchangés, constamment prouvés et non négociables des investisseurs fortunés, qui les rend si différents des investisseurs médiocres, et qui leur permet de générer des rendements bien supérieurs pour chaque euro investi, est qu’ils évitent la rotation de leurs titres.
Ils réalisent cela avec une conviction rarement vue dans les milieux de la gestion financière, et certainement pas dans les fonds communs de placement gérés activement, où les taux de rotation dépassent fréquemment cent pour cent par an!
La rotation d’un portefeuille financier correspond au pourcentage de vos actifs que vous vendez au cours d’une année donnée.
Si vous avez un portefeuille de 500.000 euros et que vous vendez chaque année pour 50.000 euros de vos avoirs afin de les réinvestir dans d’autres activités, votre chiffre de rotation est de 10%.
Cela implique par conséquent une période de détention moyenne de 10 ans.
Si vous vendez chaque année pour une valeur de 25.000€ du même portefeuille financier afin de la réinvestir dans d’autres activités, votre rotation est de 5%.
Cela implique une période de détention moyenne de 20 ans.
Les riches achètent un portefeuille financier pour le garder
De manière générale, les riches comprennent que le temps passé sur le marché est plus important que la synchronisation du marché. Les ETF qu’ils ont achetés aujourd’hui se retrouveront un jour dans le portefeuille financier de leurs héritiers.
En effet, plus vous restez longtemps sur le marché, plus vous avez de chances de gagner de l’argent.
En fait, si on regarde les États-Unis, il n’y a pas eu une seule période de 15 ans au cours de laquelle ceux qui ont acheté sur le marché des actions n’ont pas réussi à obtenir un rendement positif.
Les riches ont une compréhension implicite de ce fait.
Les riches acquièrent fréquemment des ETF de haute qualité, surveillent sa performance sous-jacente et ignorent presque les cours, ceux-ci pouvant chuter de 50% pendant que les bénéfices non distribués et, dans de nombreux cas, les dividendes continuent à augmenter.
Cela leur permet non seulement de dépenser au maximum, l’heure de la retraite venue, mais aussi d’exploiter au maximum le potentiel de défiscalisation.
Ensuite, quand ils décèdent, ils remettent l’entièreté ou une partie de ce portefeuille financier à leurs enfants et/ou petits-enfants, qui bénéficient ainsi à leur tour d’une base d’investissement solide.
Concrètement, cela signifie qu’ils peuvent éviter au maximum l’impôt sur les gains en capital et sur leurs bénéfices.
Il est difficile d’exagérer à quel point cet avantage peut être incroyable pour une famille qui souhaite l’indépendance financière.
Presque toutes les études jamais réalisées sur le sujet montrent un comportement exactement inverse pour l’investisseur pauvre.
Il injecte de l’argent dans les actions lorsque les cours des actions augmentent et vend en panique lorsqu’ils commencent à baisser, agissant comme il ne le ferait jamais s’ils traitait avec d’autres classes d’actifs, telles que sa maison.
Cela conduit à des taux de rotation du portefeuille financier invraisemblables, abaissant le taux de croissance annuel composé dont il jouit.
Cela a un effet dommageable exponentiel grâce à la valeur temporelle de l’argent.
Pourquoi le taux de rotation du portefeuille financier des non-riches augmente-t-il si rapidement?
Certains blâment les commissions déréglementées dans les comptes de courtage.
Auparavant, avant les structures de commission à faible coût (surtout offertes en ligne), il pouvait vous coûter plusieurs centaines d’Euros pour placer en bourse.
Les gens étaient donc très attentifs au changement de portefeuille financier, car les coûts d’entrée et de sortie pour devenir propriétaire d’une part de fonds était beaucoup plus élevé.
Ces jours-ci, vous pouvez le faire avec la petite monnaie de change dans votre poche.
Cela a abaissé le seuil de barrière à l’action, au détriment de la plupart des gens, de la même manière que la construction de plus de routes tend à augmenter le trafic plutôt que de le diminuer, car les gens s’adaptent en conduisant plus qu’ils n’auraient autrement conduit.
D’autres encore pensent que le cycle de nouvelles de 24 heures a quelque chose à voir avec cela.
En 1950 ou 1960, les gens n’étaient pas en mesure de suivre le cours des actions en temps réel comme ils le peuvent maintenant, du moins pas de façon significative. Ils devaient attendre la parution des cours dans leur journal.
Il semblerait également que le taux de rotation du portefeuille financier ait augmenté en raison des changements intervenus dans le système de retraite.
Au lieu d’une pension de retraite sûre et garantie, les travailleurs qui ne sont pas financièrement sophistiqués doivent maintenant gérer leur propre portefeuille financier même s’ils n’ont aucune idée de ce qu’ils font.
Il va sans dire que ces personnes sont moins susceptibles de se comporter de manière rationnelle qu’un diplômé d’université fortuné, bien renseigné et financièrement sophistiqué, qui n’a aucune difficulté à lire un compte de résultat.
Beaucoup d’autres accusent les algorithmes de trading à haute fréquence.
Personnellement, je pense tout simplement que toutes ces raisons sont à blâmer à un degré ou l’autre.
Cela devrait attirer l’attention de tous ceux qui aiment le processus scientifique.
Il ne fait aucun doute que les riches ont tendance à traiter une grande partie de leurs actifs en tant qu’investisseurs à long terme, tandis que les pauvres et les classes moyennes ont tendance à traiter une grande partie de leurs actifs en tant que traders, cherchant le profit immédiat dans leur portefeuille financier.
Ce dernier fait explique aussi le comportement des jeunes investisseurs qui jouent leur argent dans des paris de spéculation au rythme des ‘conseils’ donnés par un gourou ignare qui raconte ses bêtises sur TikTok.
Pourquoi les riches se comportent-ils de cette façon?
Qu’est-ce qui les motive à cette inaction tellement profitable, alors que tout le monde court partout?
Je pense que cela peut être expliqué par le triumvirat des taxes, du temps, et des dépenses.
La rotation du portefeuille financier a en effet tendance à augmenter les impôts, à réduire les temps investis sur le marché, et à augmenter les dépenses, ce qui, tout ensemble, entraîne une baisse des rendements.
‘Cette adhésion à la faible rotation du portefeuille financier est l’une des raisons pour lesquelles les ETF (fonds indiciels) sont si attrayants’
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Le chemin de la réussite
J’ai déjà souvent indiqué que je suis fermement convaincu que l’investisseur moyen pourrait améliorer considérablement les résultats de son portefeuille financier s’il était informé que tout achat de fonds d’actions devait être conservé pendant au moins 15, et de préférence 20 à 25 ans.
Aucune exception.
Aucune exemption.
Pas de possibilité de sortie.
Cela changerait le comportement de beaucoup de gens.
Cela conduirait à des décisions plus rationnelles et qui conduiraient à de meilleurs résultats.
Cela pourrait transformer un pari spéculatif en un investissement éclairé dans un portefeuille financier en transformant l’attention régulière du cours de l’action vers l’attente des bénéfices dans 20 ans.
Regardons comment cela pourrait se jouer dans le monde réel.
Prenons un ETF SP500 comme exemple
Bien que les dividendes augmentent considérablement au-dessus du taux d’inflation depuis toujours, le fonds se comporte comme tout autre titre à court terme (défini comme toute période de moins de cinq ans).
Les cours des actions sont quasiment aléatoires sur une période donnée de 60 mois, au-delà desquelles le multiple des bénéfices sous-jacents et de la valorisation dictent l’orientation générale.
Imaginez que vous ayez acheté des parts d’un fonds S&P 500 quelconque au 1er juin 2007.
Deux ans plus tard, nous sommes au plus profond de la Grande Récession, ramenant ainsi votre avoir à une perte de plus de 55% de la valeur marchande.
Le malheureux vend.
Le riche garde ses ETF, voire même en achète plus.
Idem lors de crise du corona.
J’ai pendant cette dernière à de nombreuses reprises imploré mes lecteurs de ne pas vendre leurs participations.
Ceux qui ont suivi mes conseils sont devenus encore plus riches.
Les preuves académiques montrent clairement que presque tous les investisseurs ordinaires auraient dans l’exemple qui nous occupe, à un moment donné, vendu leurs fonds, entraînant une hausse du taux de rotation de leur portefeuille financier.
Ce qui comptait par contre pour les investisseurs avertis, c’était le fait qu’ils étaient susceptibles de gagner beaucoup plus dans 10 à 20 ans.
Les actions étaient en baisse parce que les gens paniquaient et liquidaient leurs fonds indiciels, leurs PEA et leurs comptes de courtage.
Les riches s’en moquaient.
Ils restèrent assis là, se contentant d’attendre.
Ils ne pensaient pas à deux jours, six mois ou trois ans.
Ils pensaient de génération en génération.
Les avantages de ce traitement de son portefeuille financier sont difficiles à surestimer
L’investisseur milliardaire Warren Buffett a déjà qualifié ce phénomène comme l’obtention d’un énorme prêt sans intérêt auprès du gouvernement, et qui n’est exigible que lorsque vous vendez des actions de votre portefeuille financier.
Au cours de cette longue période de détention, notre investisseur aurait plusieurs fois vu ses actions perdre 30% ou 50% de leur valeur marchande.
Il y aurait eu des moments, parfois des années entières, où il n’a vu que de l’encre rouge, et la richesse se vider de son bilan.
Ce sur quoi il a mis l’accent, cependant, était la rentabilité sous-jacente des entreprises dans lesquelles il a investi et, dans une moindre mesure, les dividendes qu’il a reçus ou réinvestis.
En fin de compte, le prix du marché finira par refléter cela dans son portefeuille financier.
C’est ainsi que le riche voit son chèque final croître sans cesse.
À un moment donné, qu’il choisira, il sera libre de l’utiliser pour acheter de nouveaux meubles, payer le supermarché, réparer la voiture, partir en croisière, acheter de nouveaux vêtements, faire un don à l’église, à la synagogue, à la mosquée ou à l’organisation caritative de son choix, acheter des cadeaux d’anniversaire pour ses enfants.
Sa patience aura été une bénédiction considérable dans sa vie.
Se concentrant sur ce qui importe, il a pu bien dormir malgré plusieurs grands effondrements des marchés boursiers, une poignée de guerres, de nombreux attentats terroristes, une inflation élevée, la déflation, la droite au pouvoir, la gauche au pouvoir, à un changement social majeur, une pandémie et à de nombreuses autres perturbations qui ont fait peur à tant d’autres malheureux.
Il n’avait aucun intérêt à vendre parce que les affaires des sociétés marchaient bien, même lorsque les actions ne le faisaient pas.
Et ce sont les affaires qui importent.
Et il traitait ces parts exactement comme s’il avait une entreprise familiale dans sa ville natale, très peu différente d’une bonne boulangerie tenue de père en fils ou d’un bon restaurant familial de tradition.
Vous ne voyez pas beaucoup de roulement de portefeuille financier chez ces entrepreneurs.
L’homme ou la femme à qui appartient la boulangerie locale n’achète pas et ne vend pas non plus son entreprise cinq ou six fois par an.
L’un des principaux avantages des placements dans un fonds indiciel bien structuré est le faible taux de rotation du portefeuille financier
À condition que l’indice de référence encourage la passivité, cette adhésion à la rotation faible, voire nulle, est l’une des raisons pour lesquelles les ETF sont si attrayants.
Si vous avez acheté quelque chose comme le fonds indiciel S & P 500 en 2007 et que vous l’avez maintenu aujourd’hui, vous vous êtes comporté exactement comme un riche.
Et si ça n’avait pas marché à la fin?
Lorsque vous achetez et détenez une importante collection d’actions, peu importe que certaines d’entre elles fassent faillite tout au long de la procédure, tout comme une compagnie d’assurance n’a pas de souci à payer quelques sinistres à condition que les affaires soient toujours bonnes (pour reprendre une phrase de Benjamin Graham).
Il est parfois choquant pour les nouveaux investisseurs de découvrir que, dans de nombreux cas, les entreprises en faillite telles que Eastman Kodak peuvent encore gagner de l’argent, même si les actions atteignent zéro, en raison de la façon dont fonctionne le calcul du rendement total.
Pour les portefeuilles à faible rotation qui sont structurés intelligemment, peu importe si vous vous retrouvez avec une Worldcom ou Enron. Cela devient une erreur d’arrondi après un délai suffisant.
Malheureusement, des millions d’investisseurs parviennent à perdre cet avantage structurel majeur en hypertradant leurs ETF!
Il y en a même qui achetent/vendent sur les fluctuations dans l’espoir de gagner de l’argent comme dans une tombola!
Si vous vendez vos ETF à faible coût en cas de krach boursier, le fait que le fonds sous-jacent affiche un faible taux de rotation ne vous ferait pas beaucoup de bien compte tenu du taux de rotation élevé de votre portefeuille financier.
John Bogle, le fondateur légendaire de la société de fonds communs de placement Vanguard, s’émerveille de la véracité de cette réalité.
Voici ce qu’il écrit à ce sujet:
‘Dans le secteur des fonds communs de placement, nous investissons clairement beaucoup trop à court terme.
Au moins un tiers des portefeuilles de fonds d’actions réalisent une rotation supérieure à 100% chaque année.
Si nos politiques de marketing l’indiquent, nous recherchons également des investisseurs à court terme.
Et nous les obtenons: les actionnaires font tourner leurs propres fonds d’actions à un taux annuel moyen de plus de 30%.
Ces chiffres reflètent une mobilité incroyable.
Dans les deux cas, ils reflètent des stratégies stupides à court terme.
Dans la recherche d’un retour sur investissement, je ne doute pas qu’ils soient contre-productifs.
Je pense parfois que les investisseurs privés fortunés sont le seul groupe important qui valorise une stratégie à long terme et pratique un faible taux de rotation du portefeuille financier.
Et je ne suis pas loin de suggérer que le recours à une telle stratégie peut être précisément la raison pour laquelle ces familles sont riches.
L’expérience n’a pas besoin d’être pénible pour enseigner une leçon puissante.
Et les investisseurs et les gestionnaires de fonds devraient tirer les leçons de cette expérience.’
Pourquoi les riches détestent-ils autant la rotation du portefeuille financier?
Si les avantages fiscaux massifs ne suffisaient pas pour tout expliquer, il semblerait que les personnes qui acquièrent beaucoup d’argent au cours de leur vie sont d’un tempérament différent de la population en général.
Ils détestent le changement généralisé. Le changement de tout. Des chaussures. Des voitures. Des maisons. Ils aiment garder les choses très longtemps.
Ils refusent aussi, et plus que toute autre chose, de louer leur logement.
Le regretté Dr Thomas J. Stanley, de l’Université de Géorgie, et auteur de plusieurs livres à succès sur les habitudes des riches, constate que les millionnaires ont une probabilité disproportionnée de planifier à long terme.
Une fois qu’ils trouvent quelque chose de bien, ils continuent.
Ils ont des taux de divorce bien inférieurs à ceux de la population en général, restant avec leur moitié jusqu’à leur décès.
Ils sont propriétaires de leur logement, et vivent dans leur résidence principale beaucoup plus longtemps que la moyenne, ce qui leur évite les frais de déménagement, des taxes et des frais de notaire.
Ils conduisent leur voiture plus longtemps que la personne moyenne.
Ils vendent rarement leurs actions, leurs obligations ou leurs investissements immobiliers, se concentrant plutôt sur le revenu passif qu’ils procurent et l’utilisant comme moyen de mesurer le succès de leur portefeuille financier.
Ils sont encore plus susceptibles d’acheter des meubles ou des chaussures qui semblent coûter plus cher mais durent beaucoup plus longtemps, de sorte que le coût par utilisation est moins cher que l’alternative apparemment moins chère.
Si certains travaux sur l’économie comportementale et les finances comportementales révèlent une différence neurologique, cela pourrait être fascinant, car cela signifierait que la société pourrait peut-être socialement mettre au point des ajustements raisonnables pour surmonter la vision à court terme des investisseurs plus pauvres.
Pour vous, en tant qu’investisseur individuel, la leçon est claire
Si vous souhaitez améliorer considérablement vos chances de retirer beaucoup d’argent de votre portefeuille financier au cours des 15 à 50 prochaines années, soyez consistants.
Ne passez pas d’actions en actions, ni de fonds en fonds.
Trouvez des solutions qui correspondent à vos besoins et qui ont une excellente rationalité sous-jacente (peu de gens par exemple devraient posséder des actions individuelles).
Des solutions que vous comprenez.
Investir et attendre.
C’est tout.
Absolument tout ce qu’il faut faire.
Pourtant, les gens se rendent la tâche beaucoup trop difficile.
Ils m’écrivent à chaque baisse des cours pour me demander ce qu’il faut faire.
Ils sont obsédés par ce que le marché boursier va faire demain, le mois prochain ou l’année prochaine, au lieu de se concentrer sur ce qui compte vraiment: accroître la propriété de leur famille dans des actifs générateurs de trésorerie sans cesse croissante.
Cette fortune pourra alors être dépensée dans des meubles, des vacances, des voitures, des études à l’université pour vos enfants, de nouveaux clubs de golf ou tout ce que vous aimez dans la vie.
Ou comme moi dans la liberté de faire ce que je veux, où je le veux et quand je le veux.
C’est ainsi que vous devriez mesurer votre succès de votre portefeuille financier.
Pas sur des hausses à court terme.
Achetez un bon ETF, asseyez-vous et laissez le temps faire le travail pour vous, pendant que vous profitez de votre vie.
Vous pouvez devenir millionnaire ainsi, c’est garanti.

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Je ne suis pas d’accord avec Delattre. J’achète que du premier prix qui ne dure pas longtemps et le coup par jour est moins cher. En reprenant l’exemple des chaussures : j’achète chaque année 2 paires à 25€, soit 50€ par an, soit moins de 14 centimes par jour. Bien en dessous des 50 centimes pour les chaussures de luxe. Je calcule tous mes achats en coût par mois ou par an et le pas cher a toujours été le plus avantageux (après avoir essayé les deux), mais il est vrai que je déteste m’embetter à passer du temps à entretenir mes affaires.
Acheter des produits de qualité est un moyen d être économe.
Depuis l âge de 18 ans , j ai des chaussures de luxe autour de 500 euros la paire qui durent au moins 10 ans.
3 paires = 1800 euros sur cette période de 3650 jours, soit environ 50 centimes par jour.
En achetant 3 paires de chaussures médiocres à 150 ans tous les deux ans j obtiens 450 par 5 soit 2250 soit 61 centimes.
Et je suis bien moins chaussé.
Sans compter que certaines de mes chaussures ont pas Loin de 20 ans d age