Trump augmente les taxes sur les produits étrangers entrant sur le territoire américain. Ceci renforce l'incertitude. Quelle stratégie financière adopter?

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Comme promis durant sa campagne électorale, le nouveau président des États-Unis a décidé d’augmenter les taxes sur les produits étrangers entrant sur le territoire américain.

Ce retour des tensions commerciales renforce l’incertitude économique et financière.

Quelle stratégie adopter pour vos investissements financiers?

Un retour aux temps sombres

Les guerres commerciales de Trump pourraient-elles faire ressurgir des dynamiques périlleuses d’un autre temps?

Dans un monde qui penche déjà vers un protectionnisme grandissant, les droits de douane élevés envisagés par le président Trump risquent de nous plonger à nouveau dans les ténèbres du passé.

Selon la plupart des économistes, notre prospérité est en jeu.

Une parabole d’il y a près de deux siècles illustre parfaitement ce propos: des fabricants de bougies déposent plainte contre un concurrent étranger pour pratiques déloyales. « Ce concurrent bénéficie d’installations de production de lumière tellement supérieures qu’il pourrait inonder notre marché de lumière à des prix défiant toute concurrence. Ce concurrent, c’est ‘le Soleil’. Nous demandons au gouvernement de voter une loi obligeant à recouvrir toutes les fenêtres qui laissent passer la lumière du soleil, afin de protéger notre industrie venerable. Signé: Frédéric Bastiat, dont la ‘pétition’ souligne les dangers du protectionnisme.

Les annonces de Trump

Début février 2024, le président américain Donald Trump a frappé fort en annonçant de nouveaux tarifs douaniers sur les importations étrangères.

Certaines de ces mesures ont été reportées d’un mois, mais un délai n’est pas une annulation, et Trump avertit que l’UE pourrait être la prochaine sur la liste.

D’après The Economist, il serait erroné de penser que les projets de Trump sont hors de question: « Cela ne fait probablement que commencer. »

Ce faisant, Trump menace de faire régresser les relations commerciales près de deux siècles en arrière. Car le consensus parmi les économistes est sans équivoque: le protectionnisme et les barrières commerciales compromettent la prospérité générale. Imposer des droits de douane à 25 % sur les produits mexicains et canadiens inciterait ces pays à répliquer sur les produits américains. Ce cercle vicieux freine l’efficacité des échanges de biens et de services.

Implications pour la France

Pour la France, les pertes d’exportations dues aux taxes proposées par Trump seraient significatives. Les États-Unis sont le troisième partenaire commercial de la France, après l’Allemagne et l’Italie, et représentent environ 10 % de ses exportations total. Les secteurs les plus impactés seraient l’aéronautique, le secteur pharmaceutique, ainsi que les produits de luxe, les vins et spiritueux.

En 2023, les exportations françaises vers les États-Unis ont atteint près de 90 milliards d’euros. Les droits de douane proposés pourraient donc avoir des répercussions importantes sur l’économie française, notamment en augmentant les coûts pour les entreprises et en réduisant leur compétitivité sur le marché américain.

Cela pourrait également entraîner une hausse de l’inflation et une baisse de la valeur de la monnaie nationale. En résumé, les conséquences économiques seraient sérieuses et toucheraient plusieurs secteurs clés de l’économie française.

Ce scénario catastrophe, prévisible par bien des experts, était inimaginable il y a quinze ans, à une époque où la mondialisation était synonyme d’espoir. Aujourd’hui, la tendance s’inverse, et Trump souhaite relocaliser autant de productions que possible. « Le commerce est néfaste, » a-t-il martelé lors d’un discours au G20.

La mondialisation du commerce

La mondialisation du commerce a véritablement pris son envol vers 1800 avec le développement des transports grâce à la machine à vapeur. Cela a permis la spécialisation de la production là où elle se faisait de la manière la plus efficace.

Entre 1820 et 1914, le commerce mondial a connu un essor considérable: les échanges (importations et exportations) sont passés de 18 % à près de 30 % du PIB mondial.

Cependant, durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, de 1914 à 1945, ce chiffre est tombé à moins de 10 % – un niveau inférieur à celui de 1820.

Après le krach boursier de 1929, les États-Unis ont mis en place la loi Smoot-Hawley, frappant plus de 900 produits étrangers de lourds droits de douane, une situation par certaines façons similaire à celle actuelle.

Les représailles d’autres nations n’ont tardé à compromettre le commerce mondial, qui a implosé, engendrant chômage et instabilité politique.

La Deuxième Guerre mondiale est alors venue balayer tout cela avec le message : « Plus jamais de protectionnisme. »

Le libre-échange était un élément incontournable pour la reconstruction et l’expansion économique. Des institutions multilatérales ont été fondées pour prévenir de telles dérives. Après le GATT en 1947, l’OMC a vu le jour en 1995, équipée d’une autorité supranationale permettant de sanctionner d’éventuelles dérives protectionnistes.

L’hypermondialisation, un terme introduit par l’économiste Dani Rodrik, s’est produite entre 1995 et 2008, engendrant des flux commerciaux atteignant plus de 60 % du PIB mondial . Cette période a vu la coopération des méthodes industrielles occidentales avec la capacité de production de pays comme la Chine, l’Inde ou le Vietnam. Grâce aux TIC et à la conteneurisation, une répartition extrême du travail est née. Auparavant, les pays exportaient des produits dont les composants étaient fabriqués localement. À présent, les pièces arrivent de régions diverses. Par exemple, dans les années 1970, Toyota produisait des véhicules de médiocre qualité, mais en développant un approvisionnement en pièces à l’international, ses voitures sont devenues excellentes. Un simple stylo-bille est devenu un assemblage d’éléments venus de dix pays distincts.

La répartition de tout processus de production est donc globale.

La crise financière déclenchée en 2008 par l’effondrement de Lehman Brothers a marqué un tournant déterminant qui a mis un terme à cette offensive mondialiste.

Les institutions financières menaçaient de plonger multinationales et sociétés dans une profonde dépression. Les économies ont chuté, les Bourses se sont effondrées et le chômage s’est volatilisé. La situation était alors comparable à la Grande Dépression.

« Nous ne répéterons pas les erreurs d’un protectionnisme historique, » a réaffirmé Barack Obama dans le contexte de cette crise en 2009.

Les dirigeants occidentaux ont tendu la main aux économies émergentes : Chine, Russie, Corée, Inde, Turquie et Brésil, leur offrant l’accès un marché mondial promu par un commerce sans entrave. Pour ces pays, la promesse d’un marché à main d’œuvre bon marché a été alléchante, et le premier bénéficiaire a été la classe supérieure des pays occidentaux.

Cependant, une certaine classe moyenne s’est sentie perdante, reflétant une immense désindustrialisation, tout comme cela a été le cas pour les pays d’Europe de l’Est.

Ces personnes sont d’abord devenues des altermondialistes perturbant les conférences du G20 et de l’OMC, pour ensuite virer vers le populisme et le protectionnisme devant compenser l’impact de l’immigration.

La tendance nationaliste

Barry Eichengreen, professeur d’économie à Berkeley, explique dans son livre The Populist Temptation (2019) qu’une frange croissante de la société se sent marginalisée et invisible.

Les salaires stagnants et la précarité des emplois nourrissent un sentiment d’insécurité frappant ceux qui ne font pas partie de l’élite.

Ce phénomène n’est pas propre aux États-Unis: un élan similaire en Europe sera rapidement visible, avec le vote en faveur du Brexit comme l’un des signes manifestes. La pandémie de Covid-19 a tendu de nouvelles charges sur les échanges internationaux. Les chaînes d’approvisionnement se sont retrouvées contrecarrées par des fermetures dans divers ports. Sur la scène des médicaments et des masques, les pays se pensaient forcés d’être autonomes.

Cette prise de conscience, couplée à des tensions géopolitiques en hausse, fait avancer le besoin de produire à nouveau beaucoup d’éléments chez soi. Les détracteurs des chaînes d’approvisionnement mondiales se font également entendre avec des préoccupations écologiques, déplorant qu’un produit tel qu’une rose puisse être planté ici, cultivé au Kenya, puis encore mûri ici avant d’être expédié au Japon.

Barrières commerciales

Selon le Fonds Monétaire International (FMI), 2022 a vu l’émergence de pas moins de 2.600 nouvelles barrières commerciales, établissant ainsi un record historique. Ce chiffre est six fois plus élevé qu’en 2013. En l’espace d’une décennie, le nombre de mesures unilatérales affectant le commerce transfrontalier des marchandises a donc connu une explosion.

Cela remet en question la dynamique de libéralisation du commerce mondial qui a dominé durant la majeure partie du XXe siècle.

En conséquence, le commerce international s’est stabilisé depuis 2020, avec un risque accru de déclin à l’horizon.

Il n’y a cependant pas de retour possible à une époque où chaque pays pouvait produire une bicyclette moderne en toute autonomie. Les composants tels que les selles, les freins, les éclairages, les rayons, les pneus, les sonnettes et les compteurs kilométriques doivent maintenant être importés. Tenter de fabriquer un vélo en tout ou en partie requiert la mise en place de dizaines de nouvelles usines, généralement non rentables, ce qui se traduirait par un vélo au coût prohibitif.

Le protectionnisme se traduit par des droits d’importation, avec des taux pouvant atteindre plusieurs dizaines de pour cent, voire dépasser les 100%. Cela permet aux manufactures locales de mieux se concentrer sur la concurrence, même si leurs produits sont plus chers et moins efficaces.

Quotas d’importation

Ces quotas établissent un plafond sur l’importation de certains biens, par exemple, un maximum de 200.000 voitures coréennes. En outre, des exigences de sécurité et de qualité entrent en jeu. De nombreux pays interdisent des produits jugés dangereux, tels qu’une couette pour enfant potentiellement nuisible, ou des articles considérés comme des déchets. Parfois, ces exigences atteignent des niveaux ridicules, comme lorsque le Japon a prohibé les balles de ping-pong étrangères pour leur trop grand rebond.

Manipulation monétaire

Un pays peut réduire la valeur de sa propre monnaie. Dans des économies où la transparence est limitée, la banque centrale a la latitude de déterminer la valeur de la monnaie.

Lors de son précédent mandat, Trump avait accusé la Banque Centrale Européenne (BCE) de ne pas ajuster ses taux suffisamment rapidement, permettant ainsi à l’euro de demeurer bon marché par rapport à un dollar cher.

En outre, les subventions sont également une stratégie fréquemment attribuée à la Chine, qui est souvent critiquée pour soutenir ses entreprises en leur accordant des aides afin de réduire leurs coûts et de favoriser leurs exportations.

Concernant les mesures antidumping, certains pays mettent leurs produits sur le marché à un prix inférieur à celui de revient. Cela leur permet fréquemment d’écouler des stocks entiers de produits invendables, comme en témoigne la réalité actuelle avec l’acier en provenance de Chine.

Tarifs douaniers

En février 2024, Donald Trump a donc dévoilé un nouveau tarif douanier de 25 % sur les importations en provenance du Canada et du Mexique, tandis qu’un tarif de 10 % sera appliqué sur celles venant de Chine. Ces trois pays, qui représentent 40 % des produits achetés à l’étranger par l’économie américaine, affichent un déséquilibre commercial majeur vis-à-vis des Etats-Unis. Leur surplus combiné contribue à moitié du déficit commercial américain.

Pour Trump, cibler ces nations en priorité est logique, car cela vise à ramener les usines sur le territoire américain.

De plus, il annonce un tarif douanier de 25% sur l’acier.

Entre coopération et représailles

Conscients de leurs faiblesses, Ottawa et Mexico ont réagi promptement en relançant les discussions avec Washington. Cette stratégie a rapidement porté ses fruits, du moins à court terme. Deux jours après l’annonce, l’augmentation des tarifs douaniers sur les produits mexicains et canadiens a été suspendue pour une période de 30 jours. En échange de ce délai, le Canada et le Mexique se sont engagés à intensifier leurs efforts pour combattre le trafic de drogues et l’immigration illégale. L’armée mexicaine a ainsi promis de déployer 10.000 soldats supplémentaires le long des frontières. La Chine, quant à elle, a opté pour une escalade mesurée, annonçant une taxe de 15% sur le charbon et le gaz naturel liquéfié américains, ainsi qu’une pénalité de 10% sur le pétrole et des biens spécifiques. Cependant, la liste des produits affectés, bien que limitée, ne représente que 20 milliards USD d’importations annuelles, tandis que les sanctions américaines portent sur plus de 400 milliards de dollars de produits chinois.

L’Europe, pour l’instant, semble épargnée, mais elle est sans aucun doute dans le viseur de Donald Trump. Alors que certains espèrent que l’annonce de futures taxes ici également pourra servir de tremplin pour négocier d’autres sujets (tels que le financement de l’OTAN), il ne faut pas sous-estimer les appels de certains dirigeants en faveur d’une réponse énergique, ce qui pourrait perturber les entreprises européennes.

Au-delà de l’agriculture et de la sécurité alimentaire, les secteurs les plus vulnérables incluent le secteur du luxe et l’industrie automobile. Les analystes prévoient qu’un tarif douanier de 25% sur les véhicules européens pourrait entraîner une diminution des bénéfices pour certains fabricants d’au moins 5%.

Une ère de grande incertitude

Quelles que soient les décisions prises, l’emploi d’outils commerciaux par Trump crée de grandes incertitudes.

Personne ne peut prédire le dénouement du conflit avec la Chine, ni comment évolueront les relations commerciales nord-américaines.

Sur le plan économique, cette situation perturbe les investissements des entreprises, qui ne savent plus comment réagir. Celles qui envisageaient d’investir au Mexique pourraient finalement conclure qu’une taxe de 10% en Chine est préférable à une pénalité de 25% au Mexique.

D’un point de vue financier, les décisions abruptes de Trump génèrent de la volatilité.

Les marchés boursiers ont par conséquent affiché une baisse importante lors de l’annonce des sanctions.

Conséquences limitées pour les États-Unis

Les entreprises technologiques continuent de dépendre de la Chine pour ses compétences uniques, tandis que des secteurs comme les hydrocarbures et la main-d’œuvre bon marché au Canada et au Mexique demeurent essentiels.

Les droits de douane n’équilibreront pas les finances publiques américaines ni ne provoqueront une forte inflation. Les droits de douane ne s’appliquent qu’aux importations de biens et que la part de ces biens importés dans le PIB américain n’est que de 10%.

Les fournisseurs des États-Unis, comme la Chine, s’adaptent en misant sur leur marché intérieur, tandis que d’autres, comme l’Europe et la Corée du Sud, rencontrent plus de défis. Pour l’Europe, la transition vers des dépenses accrues en défense au détriment de l’État social freine la consommation, et la coopération avec les normes américaines reste difficile. Quant à la Corée du Sud, elle se trouve dans une situation complexe entre sécurité et pression commerciale.

En conclusion, bien que la guerre commerciale ajoute de l’incertitude à court terme, elle ne bouleverse pas fondamentalement la position des États-Unis, qui conservent leur rôle central sur la scène mondiale.

Quelle stratégie adopter?

Une guerre commerciale généralisée pourrait avoir des conséquences désastreuses pour l’ensemble des économies mondiales.

Toutefois, certains pays sont en position de force.

En tant qu’initiateurs du conflit, les États-Unis semblent les mieux placés pour limiter les dommages.

C’est pour cela que les actifs américains devront être au cœur de votre stratégie d’investissement.

En dépit de sa vulnérabilité relative face à son puissant voisin, le Mexique a aussi des atouts à faire valoir. Grâce à sa main-d’œuvre peu coûteuse, le pays joue un rôle crucial pour l’industrie américaine. Les autorités mexicaines peuvent également utiliser le thème du contrôle de l’immigration, un sujet cher à l’agenda politique de Trump, pour favoriser un dialogue. Considérez l’achat éventuel de 5 % d’actions mexicaines dans un portefeuille diversifié.

Contrairement à l’économie émergente du Mexique, qui est complémentaire, l’économie canadienne développée entre en concurrence avec l’économie américaine. Le Canada pourrait donc être particulièrement affecté par le désir de Trump de rétablir l’équilibre commercial. Il serait sage de vendre vos fonds d’actions canadiennes si vous en détenez.

La situation de la Chine, quant à elle, est singulière. Bien qu’étant l’ennemi commercial numéro un des États-Unis, certains produits chinois sont difficilement remplaçables. À long terme, la consommation de la population de ce vaste pays pourrait devenir un véritable moteur de son développement économique, atténuant ainsi sa dépendance aux exportations. Les actions chinoises représentent une option intéressante pour un investissement à (très) long terme.

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2 Commentaires

  1. Bonjour, que pensez-vous des fonds comme iShares China CNY Bond UCITS ETF USD Acc, qui permettent d’investir dans des obligations souveraines chinoises ?

    Réponse
    • L’ETF iShares China CNY Bond UCITS ETF (ISIN: IE00BKPSFD61) est conçu pour suivre la performance d’un indice composé d’obligations d’État chinoises et d’obligations émises par des banques politiques chinoises, toutes libellées en yuan chinois (CNY). Voici quelques points clés à considérer.
      -Avantages :
      Exposition aux obligations chinoises : Cet ETF offre une exposition directe aux obligations d’État chinoises, ce qui peut être intéressant pour diversifier un portefeuille.
      Rendement potentiel : Les obligations chinoises peuvent offrir des rendements attractifs par rapport à d’autres marchés obligataires.
      Diversification : Investir dans des obligations libellées en CNY peut aider à diversifier les risques de change et de marché.
      -Inconvénients :
      Risque de change : Étant donné que les obligations sont libellées en CNY, il y a un risque de change pour les investisseurs dont la devise de référence n’est pas le yuan chinois.
      Risque de marché émergent : Les investissements en Chine peuvent être plus volatils en raison de l’instabilité économique ou politique.
      Risque de liquidité : Les obligations chinoises peuvent être moins liquides que celles des marchés développés, ce qui peut affecter la capacité à acheter ou vendre rapidement.
      -Conclusion :
      Cet ETF peut être une option intéressante pour les investisseurs cherchant à diversifier leur portefeuille avec des obligations chinoises. Cependant, il est important de prendre en compte les risques associés, notamment le risque de change et le risque de marché émergent.

      Réponse

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